Comment j'ai conclu un pacte avec le diable. Nous étions en 1934, j'avais vingt-trois ans. J'habitais au village de Quimper. Vu ma petite taille, je marchais très lentement. Ce qui me permettais d'observer tous les beaux hommes qui se trouvaient dans les environs.
Un jour, j'étais en train de marché devant le poste de police. Quand tout à coup, un homme inconnu apparut devant moi. Cet homme était étranger, je ne l'avais jamais vu au village de Quimper. Il était grand et beau, sa démarche était digne d'un grand seigneur il était habillé en noir et il portait des gants et un chapeau noir. Je n'arrêtais pas de le fixer je n'en revenais pas à quel point il était beau. Je voulais me marier avec cet homme.
Deux semaines après l'avoir rencontré. je n'arrêtais pas de penser à lui. Je fit donc des démarches pour le courtiser. Il était quasiment inatteignable ma meilleur amie, Judith, qui était agente de la paix et qui connaissait toutes les personnes du village, n'arrivait pas à savoir qui il était. Mon but était pourtant simple, je ne voulais qu'un rendez-vous avec lui. Puis, je reconnaissait qu'il me restait une dernière option. En étant sûr que ma dernière option était de faire appel au mal, je me mît à marcher en direction du lac. Arrivé au lac, je me mis immédiatement à prier le diable. En levant la tête j'aperçus le maire Jacques Quimper qui parlait au curé, Gabriel Michel Lévesque. Ils me firent un signe amical, je ne tarda à leur répondre avec un grand sourire. Je fit semblant d'observer le lac pendant quelques minutes puis je m'éloignis d'eux. Dans un endroit un peu plus tranquille, j'ai recommencé ma prière. Puis, dans une énorme tempête de neige, un homme avec un regard maléfique apparut. Je savais que cet homme était le Diable. Tous les arbres et les plantes autour de lui firent couverts de neige. J'ai conclu avec lui un pacte. Le pacte était simple il devait faire en sorte que l'homme charmant qui occupait mon cœur tombe amoureux de moi, en échange je devais lui sacrifier ma meilleur amie, Judith Après seulement deux jours, mon amoureux sonna à ma porte. Il m'invita à dîner et puis très vite nous devenîmes très proches. Je savais cependant que je devais sacrifier ma meilleur amie au démon qui avait résolu mes problèmes. Je proposa à Judith d'aller au bord du fleuve pour marcher. En se promenant une tempête de neige apparut devant nous comme celle de la dernière fois. Cette fois, personne n'en sortit la tempête se mit soudainement à aspirer Judith, elle voulait que je l'aide, elle n'arrêtais pas de me crier à l'aide. Je ne broncha pas face à sa situation, puis en me voyant indifférente au fait qu'elle allait mourir, elle s'est mise à pleurer. Aussitôt, une pluie sans fin tomba sur Quimper pendant trois jours. Je sut que c'était Judith qui pleurait pendant ces trois jours-là. Maintenant, en 1988, au village de Quimper à chaque fois qu'il pleut, je sais que c'est Judith qui est malheureuse et cela me rend triste aussi.